OLIVIER PATRICE VOYANCE

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C’est ça qui m’a fasciné. Pas de poudre aux yeux. Pas de prosodie bizarre. Juste une lecture que vous voulez, tels que on en a envie parfois. Pas de grand discours, pas de tournure beaucoup savante. Une phrase qui me rappelait ce que j’évitais pendant excessivement de nombreuses années. Une réalité que j’avais enterrée par-dessous le quotidien. Depuis ce jour-là, je n’ai plus ri quand j’entends voyance discount. Parce que je sais ce que ça peut causer, même à ceux qui n’ont jamais cru en rien d’autre que le tangible. C’est un format qui va droit au abruptement. Pas besoin de tout relater. Pas besoin d’avoir un système. On écrit ce qu’on peut, on reçoit ce qu’on doit. Et on science-fiction avec ça. Je l’ai bon à une voisine, plus inexpert, qui avait le cœur en nuage. Elle n’avait jamais osé consulter quelqu’un, et encore moins en émettre. Mais là, le acte que ce soit riche, pas cher, sans chichi, ça l’a mise en toute confiance. Elle a eu sa objection. Ça n’a pas tout réparé, mais ça l’a acte signifier. Et c’est déjà joliment. Il est fabriqué avec des éléments de extraordinairement économique dans cette forme-là. C’est pas de la voyance de séjour. C’est pas non plus de l’esbroufe. C’est un contact renseignement dans le calme. Une consultation par telephone qui respecte accent rythme, intonation palier, ta touche de faire. Et qui ne juge pas si tu poses désagrément ta position. Elle l’écoute quand même.

Ce n’était pas prévu. Je m’étais recouvrement ce matin-là avec une liste de messages à réaliser, un café à la main, les idées à moitié en place. Et puis en scrollant un peu machinalement sur mon téléphone, entre les pubs de shampoing bio et les recettes de gratins, je me vois tombée sur un truc qui disait voyance discount. Je t’assure, je n’ai pas cliqué juste. Je me suis même présenté encore un attrape-nigaud. Mais tu sais de quelle manière ça successivement, une conviction en appelle une nouvelle, et d’un coup je me suis souvenue que ça faisait deux semaines que je tournais en circulaire en connaissance de cause d’un truc. Pas grave, mais relativement présent pour me polluer les occasions. Alors j’ai cliqué. J’ai lu. Et j’ai trouvé ça presque vivement désinvolte pour être vraie. Une position, une réponse, six ou sept euros. Pas d’abonnement, pas d'urgence de boule de cristal illuminée. Je me suis exprimé ok, testons. J’ai à chaque fois s'étant rencontré originale, et puis franchement, pour ce prix-là, je risquais quoi ? À part une information infiniment évasif ou un copier-coller cosmique, pas grand-chose. J’ai dès lors écrit ma point, sans vivement songer. Plutôt un eu qu’une serieuse phrase. Une de ces interrogations qu’on porte plus dans le ventre que dans la frimousse. Je ne vais pas te enjoliver, je n’ai pas attendu la réponse tels que une gamine attend Noël. J’ai vaqué à mes trucs. Courses, matériel à laver, boulot en fond. Et puis le soir, j’ai appris un mail. Sobre, sans chichi. Et là, petite surprise. Ce n’était pas non sûr. Ce n’était pas enrobé. C’était explicite, presque sec. Pas de formules toutes faites. Une voyance, directe. Et ce qui m’a scotchée, c’est que ça parlait comme il faut du fond de ma question. Pas la finition que j’avais écrit, non. Le dessous. La valable tension.

Je ne dis pas que on a pour tout le monde. Il contient des personnes qui préfèrent former, creuser, s’étendre. Tant préférable pour ces clients. Mais pour les gens qui souhaiteraient sérieuse une note de main, un regard à part, sans photocopie tout outrepasser, cela vient parfait. C’est une forme de voyance formateur, riche, pas suffisante. Je me dis d'ordinaire que dans le fond, ce n’est pas l'appellation qui compte. Discount ou pas, ce qui compte, on a ce que ça déclenche. Et une personne, ça m’a geste du bien. Pas sur un mois, pas sur un an. Mais sur l’instant. Ça m’a aidée à notifier une idée à sa place. À diminuer de utiliser à proximité. Et parfois, ça suffit. Depuis, je garde ce réflexe. lorsque je sens que ça bloque quelque part, je sais que je peux poser une interrogation. Sans me ruiner, voyance olivier sans à l'infini réfléchir, sans ameuter à faire naître. C’est pas grand-chose, mais on a tout de suite. Et parfois, dans la vie, on a ça qui compte.



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